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Virginie Nguyen Hoang

Virginie est une jeune photographe et photojournaliste.

À travers ses photos, elle raconte des histoires touchant à l’exclusion sociale et aux conséquences d’un conflit sur une population locale.

Elle fait ses premiers pas comme photographe pour l’agence française Wostok Press. Elle s'installe ensuite comme freelance en Égypte où elle collabore avec le journal local Egypt Independent et ensuite Mada masr

Depuis le début de sa carrière, Virginie a réalisé plusieurs reportages en Irak, en Belgique, en Syrie, en Égypte, en Turquie, en Libye, en Inde, en Ukraine, au Vietnam, aux Philippines, en Afghanistan, à Gaza et en Centrafrique.

Virginie est membre du Studio Hans Lucas et devient cofondatrice du Collectif HUMA.

En 2012, elle reçoit un Nikon Press Award Benelux dans la catégorie Young Promising photographer - Stories avec son sujet sur les Roms à Bruxelles. En 2014, Virginie reçoit une mention spéciale au Prix Roger Pic de la Scam avec son sujet «Gaza, the aftermath». En 2016, son travail sur Gaza reçoit la 3e place du Prix MIFA (Moscow International Foto Awards), Category Editorial : Photo Essay. Elle est également lauréate de la Bourse Vocatio en Belgique, nominée au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre dans la catégorie «Jeune Reporter» et lauréate, avec Dastane Altaïr, dans la catégorie TV «Prix région des lycéens et apprentis de Normandie» avec le reportage «War is a Bitch» sur les soldats de l’armée ukrainienne luttant sur les fronts les plus chauds à l’Est du pays. En 2018, Virginie est lauréate du Prix ANI-PixTrakk lors du festival international du photojournalisme «Visa pour l’image» avec son histoire «Gaza, the aftermath».

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Virginie collabore avec de nombreux quotidiens et magazines tels que The Washington Post, Le Monde, Le Parisien Magazine, Le Figaro, VSD, L’Obs, Libération, La Croix, Le Pèlerin, Causette, l’Hebdo, L’Illustré, Le Temps, La Libre Belgique, Politiken, De Standaard...

 

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